EVOLUTION DE L HOMME

Version PDF
Version livre sur demande 7€70+4€30 port (Évolution humaine, la vérité qui dérange !)

Connaissez-vous bien votre arbre généalogique ?

Selon l'idée de Darwin, l'homme moderne aurait évolué à partir de créatures apparentées à des singes sur une durée de 4 à 5 millions d'années. Selon ce scénario imaginaire, plusieurs catégories élémentaires seront établies par les évolutionnistes. Ces catégories feront l’objet de controverses et seront reconsidérées de nombreuses fois. Voici les plus connues :

01- Ramapithèques

02- Australopithèques

03- Homo habilis

04- Homo Rudolfensis

05- Homo ergaster

06- Homo antecessor

07- Homo érectus

08- Homo heidelbergensis

09- Homo Néanderthal

10- Homo sapiens

Les paléontologues ont réussi l'exploit de faire croire au monde entier ou presque, une théorie qui sera enseignée dans les écoles comme une vérité, à partir de seulement quelques centaines de fragments d'os. Parmi les fossiles, se trouvent de nombreux crânes incomplets et morceaux de mâchoires. La reconstitution partielle de squelettes n'a pu être réalisée que sur quelques dizaines d'individus singes ou hommes. C'est trop peu pour échafauder une vérité scientifique. Beaucoup se sont interrogé sur la fiabilité des ces preuves, compte tenu du peu de squelettes reconstituables. 

Leur théorie, basée sur la période des Australopithèques à l'Homo sapiens, (il a été imaginé moins de 300 000 générations d’individus sur 4 millions d’années)(a), est construite sur la base de moins d'une centaine de reconstitutions partielles de squelettes. Cela signifie qu'une trouvaille plus ou moins heureuse d'ossements sera considérée comme représentative de peut-être 3000 générations d'individus dont moins de 200 générations d' « Homo » (b) ! Une centaine de reconstitutions de squelettes trop partielles pour être représentatives de millions d'individus; est-ce raisonnable ? (c)

(a) Simulation basée sur les chiffres avancés par les évolutionnistes.

(b) Classification du genre humain.

Comment singer les singes ?

Ce monde aura connu plus de 6000 espèces de singes. Moins de 150 espèces sont encore présentes. Le plus important dans tout cela, c'est qu'il existe de nombreuses différences anatomiques entre les singes et les hommes et qu'aucune d'entre elles ne peut être considérée comme un stade évolutif du singe à l'homme. 

Compte tenu de la grande diversité d’espèces de singes qui ont peuplé la terre, leurs crânes, grands ou petits sont une excellente ressource pour concocter un scénario évolutionniste. Cependant, si on élimine les informations erronées liées aux fraudes diverses, les paléontologues n'ont donc toujours pas trouvé le moindre « chaînon manquant », le moindre ancêtre aux singes et aux hommes !

L’australopithèque, une catégorie de singe disparue a été l'objet d'attentions particulières. Raymond Dart découvre un premier spécimen en 1924. Sa stature semble proche de celle de l’être humain. Cependant, la comparaison de ses os avec ceux d’un chimpanzé, semble montrer très peu de différences. Les évolutionnistes ont établi que l’australopithèque marchait le corps droit.

Cependant, deux anatomistes connus, Lord Solly Zukerman et Charles Oksnard ont contesté cette allégation (voir les détails aux paragraphes suivants). En exemple, le fossile bien connu « Lucy » , était simplement un australopithèque mâle. Il fut considéré comme l’ancêtre de l’homme par les évolutionnistes sur la base de la bipédie

La démarche et la posture debout de l'être humain restent néanmoins spécifiques. Si un animal possède une morphologie qui lui permet de pratiquer la marche debout, cela n'empêche pas que pour la majeure partie de son temps, il se comporte en quadrupède.

D’un autre côté, les fossiles qui sont inclus par les évolutionnistes sous des classifications imaginaires, tel que « Homo erectus », « Homo ergaster », « Homo sapiens archaïque », appartiennent en réalité soit à différents genres humains, soit à un seul genre. Lorsque ces fossiles sont examinés, leurs squelettes ont l’air d’être essentiellement les mêmes que ceux des personnes de nos générations présentes. Les quelques dissimilitudes, sont principalement de petites différences au niveau de la structure du crâne. Mais des différences comme celles-ci, se retrouvent parmi les différentes peuplades actuelles.

Méthodes évolutionnistes

 Reconstitution faciale :

Toutes les reconstitutions faciales d'hominidés qui illustrent nos manuels scolaires ont été créées sous l'influence des idéologies évolutionnistes. Aujourd'hui, la reconstitution faciale est plus rigoureuse et laisse moins de place à l'imagination. Pour plus de détails, voir le site du Laboratoire d'Anthropologie Anatomique et de Paléopathologie de Lyon.

Techniques de datation :

Nous ne pouvons aucunement faire confiance aux techniques de datation. Bien que leurs élaborations soit très complexes, le calibrage est calculé sur des hypothèses évolutionnistes ! La théorie de la désintégration nucléaire des atomes dans le temps servant d'échelle de calcul aux méthodes de datation est loin d'être une vérité scientifique. (voir sur notre page spéciale : Datation impossible).

Formes de crânes :

Se baser sur les formes et les volumes des boîtes crâniennes pour établir des espèces et des catégories n'a rien de très sérieux ni de véritablement scientifique. Nous l'avons déjà souligné : De fortes différences morphologiques peuvent être constatées auprès des différentes peuplades vivantes aujourd’hui ainsi qu'au sein d'une même ethnie.

Une découverte récente confirme cette réalité sur des fossiles découverts en 2005 sur le site de Dmanisi en Géorgie. D'après un article publié en octobre 2013 dans la revue américaine « Science », une équipe internationale de chercheurs, menée par le Muséum National de Géorgie à Tbilisi remet en cause la théorie qui consiste à créér des classifications d'après les caractéristiques des boites crâniennes. (Voir vidéo)

Ces chercheurs affirment que plusieurs catégories distinctes classées « Homo » feraient en fait partie d'une seule et même catégorie !

Le site de Dmanisi, en Géorgie est une véritable caverne d'Ali Baba. On y a trouvé cinq crânes hominidés, dans un excellent état de conservation. L'équipe s'est donc livrée à une comparaison morphologique des 5 crânes de Dmanisi.

Puis ils les ont comparé à de nombreux fossiles d'hominidés découverts en Afrique, en Asie ou en Europe. Et surprise ! Les différences morphologiques que l'on peut constater entre ces fossiles d'une même espèce sont pratiquement les mêmes que celles que l'on pourrait remarquer au sein d'un groupe d'humains ou d'un groupe de chimpanzés aujourd'hui.

Ils reconnaissent que si chacun de ces fossiles avait été découvert séparément à des endroits différents en Afrique, ils auraient été attribués à de nouvelles espèces différentes !

5 crânes de Dmanisi

5 crânes de Dmanisi

Vue d'ensemble sur les classifications :

Noms donnés

Périodes supposées en millions d'années

Lieux de découverte

Taille moy.

Moy. Vol. crâne

Caractéristiques

Ramapithèques « Dieu indien-singe »

- 8 à - 14 Ma

Inde - Afrique

0,90 m à 1,00 m

400 cm3

De petite stature, une silhouette proche de celle de l'Orang-outan. De simples singes retirés depuis du scénario de l'évolution humaine.

Australopithèques « singe d'Afrique du Sud »

- 6 à - 1 Ma

Afrique

1,00 m à 1,40 m

500 cm3

Espèces anciennes de singes considérées comme bipèdes au départ puis comme quadrupède pour finir. Des singes quoi !

Homo habilis « L'homme habile »

- 2,4 à - 1.6 Ma

Afrique orientale 
et australe

1,15 m à 1,30 m

620 cm3

Considéré comme un pré-humain grimpant aux arbres, il fut reclassé ensuite Australopithèque. Un singe quoi !

H. Rudolfensis (Origine Lac Rudolph)

- 2,8 à - 1,7 Ma

Afrique orientale dont Kenya

1,40 m

700 cm3

Classé d'abord en « Homo », Rodolphe sera relogé plus tard avec les Australopithèques. Encore un singe !

H.. Ergaster «L'homme artisan»

- 2 à - 1 Ma

Afrique (Kenya), Europe du sud

1,55 à 1,70 m

850 cm3

De morphologie identique à Homo erectus, Homo ergaster est un homme à part entière sans signe évolutif. Un homme quoi !

Homo Erectus « L'homme droit »

- 1,9 à - 0,3 Ma

Asie, Afrique, Europe

1,50 à 1,65 m

1000 cm3

Considéré comme l'homme primitif, il n'y a pourtant pas de différence entre le squelette de l'homme actuel et celui d'un Homo erectus.

H. heidelbergensis (D'Heidelberg en Allemagne)

- 0,8 à - 0,3 Ma

Afrique, Europe, Asie occidentale

1,55 à 1,65 m

1200 cm3

Contrairement à toutes les hypothèses issues de l'imagination débordante des chercheurs, les particularités d'Homo heidelbergensis ne prouvent en rien qu'il ait été l'ancêtre d'Homo neandertalensis et d'Homo sapiens.

H. Floresiensis « L'homme de Flores »

- 95 000 à -1 2 000 ans

Indonésie, Île de Flores

1,00 m

380 cm3

Considéré au départ comme issu de Homo erectus, il fut reclassé en variété de singe après diverses études. Encore un singe !

Homo neanderthalensis « L'homme de Neandertal »

- 250 000 à – 28 000 ans

Europe - Asie

1,65 m

1630 cm3

Stature trapue digne d'un rugbyman, et identique a celle d'hommes actuels.

Homo sapiens « homme savant »

- 200 000 ans à aujourd'hui


1,70 m

1400 cm3

Stature identique aux hommes actuels.

RAMAPITHEQUE

Considéré dans les années 60 comme l'ancêtre de l'homme, le Ramapithèque aurait eu, pensait-on, quelques ressemblances avec l'homme.

Les conceptions des scientifiques sur l'origine de l'homme ont bien changé. Le ramapithèque d'Asie n'est plus considéré comme le plus vieil ancêtre de l'homme. Ses caractères autrefois prétendument humains sont censés aujourd'hui avoir la plus grande similarité avec ceux des orangs-outans. En 1980, Louis de Bonis écrivit « Les traits propres attribués au Ramapithèque : petite stature, forme et taille relative des canines, morphologie dentaire ne sont pas aisés à interpréter ».

Les spécialistes ont fini par classer les Ramapithèques, Ramapithèques et Orang-outan parmi les Pongidés tandis que chimpanzés et gorilles se retrouvent parmi les Hominidés aux côtés des Australopithèques et des humains.

Ce nouveau classement fait que les Ramapithèques, autrefois considérés comme nos ancêtres, ne le sont plus depuis les années 80.

AUSTRALOPITEQUES

L'Australopithèque: un autre classement de singes.

L'Australopithèque, dont le nom signifie « singe du sud » serait apparu en Afrique il y a environ 4 à 6 millions d'années de cela et aurait disparu il y a 1 million d'années. Plusieurs catégories au sein des Australopithèques ont été établies. Les évolutionnistes pensent que la plus ancienne espèce d'Australopithèque est l'Australopithèque Afarensis. Après cela l'A. Africanus, qui a des os plus minces, puis l'A. Robustus, dont les os sont relativement plus robustes. En ce qui concerne l'A. Boisei, quelques chercheurs l'acceptent en tant qu'espèce différente alors que d'autres le considèrent comme une sous-espèce de l'A. Robustus.

Les Australopithèques représentent d’anciennes espèces de singes dont les caractéristiques morphologiques sont proches de celles des espèces actuelles.

Leurs capacités crâniennes sont similaires voire plus faibles que celles des chimpanzés. Leurs mains et leurs pattes sont dotées d'organes en saillie qui leur permettent de s'accrocher et d'escalader les arbres exactement comme le font les chimpanzés de nos jours. Leurs pieds leur permettent de s'accrocher aux branches d'arbres. Ils sont de petite taille (maximum 130 cm).

Plusieurs traits comme leur crâne, le rapprochement des yeux, la molaire tranchante, la structure mandibulaire, les mains longues et les pieds de petite taille sont autant de preuves qui démontrent que ces êtres vivants n'étaient pas différents des singes actuels.

Les évolutionnistes prétendent que même si les Australopithèques ont l'anatomie d'un singe, ils marchaient debout comme les humains et non pas comme les singes. C'est en réalité une opinion soutenue depuis des décennies par les paléoanthropologues tels Richard Leakey et Donald C. Johanson.

Toutefois, des scientifiques ont réfuté cet argument. Des recherches poussées effectuées sur des spécimens d'Australopithèque par deux anatomistes anglais et américain de renommée mondiale, en l'occurrence Lord Solly Zuckerman et le Professeur Charles Oxnard, ont prouvé que ces créatures n'étaient pas des bipèdes et qu'elles avaient la même démarche que celle des singes d'aujourd'hui.

Après avoir étudié les os de ces fossiles pendant 15 ans grâce au financement accordé par le gouvernement britannique, Lord Zuckerman assisté d'une équipe de 5 spécialistes est arrivé à la conclusion suivante: les Australopithèques n'étaient qu'une espèce ordinaire de singes et n'étaient absolument pas des bipèdes, Zuckerman est pourtant lui-même un évolutionniste.(1)

Charles E. Oxnard, un autre évolutionniste connu pour les recherches qu'il a menées sur la question, a également établi la relation entre le squelette de l'Australopithèque et les orangs-outans modernes.(2) Enfin, en 1994 une équipe de l'Université de Liverpool a inauguré une recherche d'une grande ampleur afin d'aboutir à une décision finale. L'équipe a conclu que « les Australopithèques sont des quadrupèdes ». (3)

(HOMO) HABILIS

On a considéré l'Homo habilis comme le trait d'union entre l'Australopithèque et l'homme véritable, jusqu'à il y a peu de temps, l'Homo habilis fut considéré comme un pré-humain ayant vécu entre 2,4 Ma et 1,5 Ma avant notre ère.

Mary Nicol et son mari Louis Leakey , découvrent en 1961 au Nord de la Tanzanie les restes d'un individu accompagnés d'outils primitifs en pierre. Il sera nommé Homo habilis à cause de son apparente habilité à construire et utiliser des objets utiles.

Homo erectus, qui est évoqué quelques paragraphes plus loin, fut découvert 70 ans plus tôt en 1891 et baptisé ainsi à cause de sa stature droite. On a pensé longtemps que l'Homo erectus découlait de l’Australopithèque. Cependant, comment est-ce possible de passer d'un corps d’Australopithèque aux formes simiesques de singe sans transition à un corps déjà humain d'Homo erectus ?

Le « chaînon manquant » (C'est-à-dire, l'absence de preuve fossile d'un individu mi-homme, mi-singe) entre Australopithèque et les « Homos » est de plus en plus un véritable cauchemar pour les paléontologues. L' « homme de Piltdown » et autres fraudes de même genre ont fait croire au monde entier pendant plus d'un siècle que l'on possédait des preuves de « chaînons intermédiaires ». Le paléontologue évolutionniste Stephen Jay Gould a écrit : «  La rareté extrême des formes intermédiaires, dans le registre des fossiles, persiste en tant que le secret professionnel de la paléontologie. » (The Panda's Thumb, 1980, p. 181). Stephen Jay Gould (1941-2002) était

marxiste, militant anti-créationnistes.

Laisseriez-vous un homme être condamné, alors que vous possédez les preuves de son innocence ? Beaucoup d'évolutionnistes condamnent le créationnisme tout en donnant l'assurance de posséder des preuves de leur théorie. Niles Eldredge, l'un des grands experts mondiaux en matière de fossiles affirme: « Nous, paléontologues, avons dit que l'histoire de la vie confirme (l'idée d'un changement évolutif), quand en réalité nous savons que ce n'est pas le cas. » Richard Lewontin, biologiste de Harvard et marxiste a un jour candidement admis :

« Nous ne pouvons donc pas entrouvrir la porte et y permettre un pied divin de la bloquer. » Il est clair que, poussés par leurs idéologies anti-religieuses, beaucoup de chercheurs évolutionnistes ont cherché à maintenir la vérité captive.

Australopithèques et le genre Homos n'ayant pas de « chaînons » intermédiaires, Homo habilis sera donc proposé comme bouche-trou entre ces deux classes. Mais à quoi ressemble Homo habilis ? Il est présenté comme pouvant grimper aux arbres tout en ayant une capacité à la marche favorisée par des membres inférieurs robustes. Il marchait courbé. Il avait les mains longues, les jambes courtes et un squelette assez proche des Australopithèques. Ses pieds et mains étaient parfaitement adaptés à l'escalade. Sa structure mandibulaire était très similaire à celle des singes de nos jours.

Sa capacité à se fabriquer des outils primitifs si cela est vrai, ne fait pas de lui pour autant un pré-humain. De nos jours nous connaissons des animaux autres que des singes capables de telles prouesses.(4) Loin d'être l'espèce intermédiaire idéale à cause de sa ressemblance trop marquée avec australopithèque, l'Homo habilis sera reclassé Australopithèque habilis par des chercheurs tels que Bernard Wood et C. Loring Brace. Puis en 1994, l'anthropologue américaine Holly Smith déclare, après des recherches poussées que l'Homo habilis n'était rien d'autre qu'une variété de singe.(5)

Holly Smith, spécialiste en développement dentaire à l'université d'anthropologie du Michigan a déclaré ce qui suit:

« Si l'on se restreint dans les analyses fossiles aux spécimens qui remplissent ces critères, les modèles du développement dentaire des Australopithèques graciles et Homo habilis restent classifiés parmi les singes africains. Ceux des Homo erectus et du Néandertalien sont classés avec les humains. »(6)

Une autre méthode est utilisée pour faire la distinction entre les singes et les catégories « homo », c'est l'étude de l'appareil vestibulaire (centre de l'équilibre de l'oreille interne) dont les canaux et la forme sont bien spécifiques à chacune des deux catégories singes et « Homo ». On arrive à la même conclusion que la précédente, c'est-à-dire qu'il n'existe aucune catégorie intermédiaire entre les singes et les humains et que l'Homo habilis est une variété de singes.(7)

Pour ne pas se montrer bredouilles, d'autres tentatives seront faites par les évolutionnistes pour maintenir l'illusion auprès du public. Voyons le cas de l' Homo rudolfensis.

(HOMO) RUDOLFENSIS

C'est d’abord Bernard Ngeneo (membre de l'équipe de Richard Leakey), qui en 1972, découvre ce fossile dans le gisement de Turkana. « Rudolfensis » vient de l'ancien nom du lac Turkana : Rodolphe, nommé ainsi en l’honneur du prince héritier de l’Empire austro-hongrois Rodolphe de Habsbourg-Lorraine. Il a été renommé lac Turkana en 1975 trois ans après la découverte du fossile.

La reconstitution du crâne Rodolphe par le Kényan Richard Leakey (fils de Louis et Mary Leakey, cité précédemment) fut orientée par son désir de lui prêté un visage humain. Classé d'abord en «  Homo », Rodolphe sera relogé plus tard avec les Australopithèques. Après de nouvelles analyses des morceaux constituant le crâne et la mâchoire, le Professeur Tim Bromage en 1992 ainsi que C. Loring Brace de l'Université du Michigan arrivèrent à la conclusion que Rudolph avait exactement le visage et les dents d'un Australopithèque.

Pour clôturer définitivement le débat, les deux anthropologues évolutionnistes, Bernard Wood et Mark Collard, écriront dans la revue Science en 1999, que les catégories de l'Homo habilis et de l'Homo rudolfensis étaient imaginaires. Ils expliqueront que les fossiles qui leur ont été attribués correspondaient au genre Australopithèque.

Homo rudolfensis est l'image type d'une spéculation à partir de quelques morceaux d'os. L'idéologie évolutionniste perdure dans le pensée contemporaine grâce à ce type de spéculations. A chaque invention-mirage de ce genre, les évolutionnistes donnent l’impression d'avoir gagné la partie contre les créationnistes. De Darwin à nos jours, toutes ces spéculations ont entretenu le mensonge dans l’esprit de bien des générations d'êtres humains à qui on a présenté l'évolutionnisme comme seule vérité.

HOMO ERGASTER

Son nom signifie « homme artisan ». ergaster est le fruit des recherches menées par Richard Leakey et son équipe en Afrique.

Trois fossiles ont été découverts près du lac Turkana (une mandibule en 1971, un crâne en 1975, un fossile presque entier : le garçon de Turkana en 1984). En 1995, l' « homme de Buya » en Érythrée sera aussi un fossile considéré comme un Homo ergaster.

Homo ergaster diffère peu de Homo erectus. Ils sont contemporains. De part leurs morphologies, la plupart des homo erectus africains peuvent être classés en Homo ergaster.

Il faut retenir que Homo ergaster était un humain à part entière. Rien dans sa morphologie ne laisse penser à une évolution structurale du squelette.

Il ne s’agit donc, en aucun cas, d'une forme transitoire entre l'Australopithèque et l'humain.

HOMO ERECTUS

Erectus signifie en latin : droit, dressé.

Homo erectus comporte plusieurs variantes régionales qui ont été considérées comme des sous-espèces, dont le pithécanthrope et le sinanthrope. Certains chercheurs croient que Homo ergaster, Homo heidelbergensis, Homo rudolfensis pourraient toutes être rattachées à Homo erectus.(8)

Liste des sites où la présence d'Homo erectus à été prouvée en Afrique, d'après la revue scientifique La Recherche de Mai 2008 : Koobi Fora. Fossile codé KNM-ER 42700 ; Lleret. Fossile codé KNM-ER 999 et KNM-ER 3884 ; Melka Kuntunré ; Nariokotome ; Swartkrans ; Konso ; Olduvai ; Tighenif. (Voir classement sur Wikipédia).

Il n'y a pas de différence entre le squelette de l'homme actuel et celui d'un Homo erectus qui est présenté par les évolutionnistes comme «  l'homme primitif ». De même les différences morphologiques entre Homo erectus, Homo ergaster, Homo heidelbergensis, Homo rudolfensis et Neandertal peuvent être comparées aux différences morphologiques que l'on retrouve parmi tous les représentants de la race humaine actuelle.

Le motif premier présenté par les évolutionnistes pour définir l'Homo erectus de « primitif »  est le volume de son crâne (900-1100 cm3), qui serait inférieure à celui de l'homme actuel. Cependant, il y a de nos jours une grande disparité de capacité crânienne dans le monde. Tout le monde sait que « petit cerveau » ne signifie pas « manque de cervelle » !

Homo erectus est la preuve même que l'homme descend de l'homme. L'(Homo) habilis étant définitivement classé « singe-australopithèque » et ayant cohabité à la même époque, que Homo erectus, ne peut donc pas être le « chaînon manquant » de l'évolution.

« La preuve de leur coexistence rend peu probable que l'Homo erectus ait évolué à partir de l'Homo habilis. ».Meave Leakey (épouse de Richard Leakey)

L'Homo erectus en tant que catégorie indépendante est de plus en plus contesté dans les milieux scientifiques. Ses différences avec l'homo Sapiens ne sont pas la marque d'une évolution mais seulement de simples différenciations morphologiques.(9)

HOMO HEIDELBERGENSIS

C'est en 1907 que le premier fossile d'Homo heidelbergensis a été une mâchoire identifiée, dans une sablière de la région de Mauer en Allemagne. Depuis, plusieurs autres fossiles ont été mis au jour dans plusieurs régions du monde (en Grèce à Pétralona, Éthiopie, Gambie, Grande-Bretagne, Espagne).

Ses caractéristiques particulières sont : une mâchoire courte et robuste, de petites dents, un front élevé et large. Contrairement aux hypothèses émises par les chercheurs, Les particularités d'Homo heidelbergensis ne prouvent en rien qu'il ait été l'ancêtre d'Homo neandertalensis et d'Homo sapiens.(10)Une analyse génétique fournie par l'Institut Max-Planck d'anthropologie évolutionniste à Leipzig en Allemagne, à la revue Nature, publiée le 4 décembre 2013, semblerait confirmer ce fait.

(HOMO) FLORESIENSIS

Une dizaine de fossiles ont été découvert en 2003 dans une caverne de l'île de Flores, en Indonésie. Ils sont de petite taille (un mètre) avec une capacité crânienne proche de celle du chimpanzé : 380 cm3.

Considéré au départ comme issu de Homo erectus ou de Homo abilis, l'Homme de Flores, appelé aussi Hobbit, était si petit que les chercheurs ont émis toutes les hypothèses : pygmée, microcéphale, trisomique 21, nanisme. Sa morphologie intrigue.

Cependant des détails de grandes importances permettent de resituer le Hobbit dans la catégorie des singes tout simplement. Voyons les éléments :

"Les hobbits sont bien bipèdes, mais ils le sont d'une manière différente de l'homme moderne", explique William Harcourt-Smith, chercheur à l'American Museum of Natural History. Si le "hobbit" marchait bien sur deux jambes, plusieurs caractéristiques de son pied sont si primitives que sa démarche ne devait pas être identique à celle d'Homo sapiens.(11) La bonne question est : la bipédie est-elle réservée aux humains ?

Le pied du Hobbit est très long proportionnellement au membre inférieur, il représente plus de la moitié de la longueur du fémur. C'est une particularité que l'on retrouve chez de nombreux singes mais pas chez les humains.

Le gros orteil des hobbits ressemble à celui des chimpanzés et les os du tarse sont très semblables à ceux des grands singes.

La forme des os de son poignet démontre qu'il n'est pas de lignée Homo. Trois petits os du poignet qui ont été étudié : le trapézoïde, le scaphoïde et le grand-os (capitatum). L'analyse en 3 dimensions (voir schéma) montre que les os du poignet ne ressemblent en rien à ceux d'Homo sapiens alors qu'ils sont presque indistinguables de ceux des grands singes actuels! L'auteur principale de l'étude, Matt Tocheri, déclare qu'avant de d'étudier les fossiles « il n'avait pas de véritable opinion sur le débat qui concerne l'appartenance du hobbit à l'espèce Homo sapiens »... « Mais les os de son poignet sont tellement peu semblables à ceux des homme modernes qu'Homo floresiensis ne peut pas être un Homo sapiens ».(11) (12)

L'HOMME DE NEANDERTAL

L'homme par qui tout est arrivé s'appelle Néandertal. Son nom est celui d'une localité allemande ou un premier fossile fut découvert en 1856. Mais c'est en 1908, à La Chapelle-aux-Saints, une commune française située dans le département de la Corrèze, que le premier sujet complet a été découvert. Depuis, le registre des fossiles Néandertaliens s'élève à près de 300 individus. Contemporain de l'Homo sapiens, Neandertal n'est ni son ancêtre, ni son descendant.

Au départ, il fut considéré comme humain, mais suite à la publication de « L'origine des espèces » par Charles Darwin, des évolutionnistes voulant donner raison à ce dernier, ont décidé qu’il s’agissait d’un ancêtre de l’homme en pleine évolution.

Il a fallu attendre 1960 pour qu'il soit reconsidéré scientifiquement comme humain à part entière. Cela fait donc un siècle pendant lequel on a abreuvé les étudiants d'images de reconstitutions imaginaires et dégradantes pour le genre humain que nous sommes.

« Selon plusieurs paléoanthropologues, l’histoire de l’évolution humaine a été portée vers la fiction afin de répondre à des besoins autres que la rigueur scientifique. »

« Des comparaisons détaillées entre des restes de squelettes d’hommes de Néandertal et de squelettes d’humains modernes ont démontré qu’il n’y a rien dans l’anatomie néandertale qui indique de manière concluante une infériorité locomotive, manipulative, intellectuelle ou linguistique par rapport à l’homme moderne. » Natural History vol. 87, p. 10, 1978

« Des générations d’étudiants dans le domaine de l’évolution humaine, moi y compris, ont peut-être pataugé dans les ténèbres ; nos données sont trop éparpillées, trop fuyantes pour donner forme à nos théories. Les théories sont davantage des faits sur nous-même et sur une idéologie, que sur le passé. La paléoanthropologie parle davantage de la manière dont les humains se voient que de la manière dont ils ont pu arriver ici. Mais tout cela est de l’hérésie. » Docteur David Pitbeam, professeur d'anthropologie a Yale university ; American Scientist, Vol. 66, p. 379, May/June 1978

La morphologie de Néandertal : Néandertal était de stature plus trapue et plus petite que Homo sapiens. Cependant, sa capacité crânienne est plus importante : en moyenne 1600 cm3 contre 1400 cm3 pour Homo sapiens.

« Les comparaisons détaillées effectuées entre les restes de squelette du Néandertal et ceux d'hommes modernes ont démontré qu'il n'existe aucune indication claire dans l'anatomie du Neandertal qui montre que les capacités locomotives, manipulatrices, intellectuelles ou linguistiques de celui-ci sont inférieures à celles des hommes d'aujourd'hui. »(13) Erik Trinkaus, paléoanthropologue.

Le Néandertalien est aujourd'hui considéré par les spécialistes soit comme une sous-espèce éteinte de l'homme moderne (Homo sapiens neanderthalensis), soit comme une espèce propre (Homo neanderthalensis).

HOMO SAPIENS

Historiquement, les premiers restes d'Homo sapiens fossiles ont été découverts en 1823 au Pays de Galles : il s'agit de la dame rouge de Paviland. Les seconds restes ont été découverts à Engis en Belgique dans les grottes Schmerling à partir de 1830, en même temps que les premiers restes néandertaliens.

Que dire sur l'Homo sapiens, sinon qu'il désigne pour les paléontologues, l'homme savant moderne, celui que vous voyez chaque matin dans votre miroir. On le fait remonter à 200 000 ans selon les hypothèses évolutionnistes.

HOMO ANTECESSOR

Entre 1994 et 1995, trois paléoanthropologues espagnols de l'Université de Madrid découvrent, dans une grotte appelée Gran Dolina dans la région d'Atapuerca, 86 fragments osseux correspondant au moins à six individus. Certains fragments appartiennent au visage d'un enfant de 11 ans qui ressemblait exactement à n'importe quel enfant actuel. Les modalités de développement et d’éruption des dents sont pratiquement identiques à celles des populations modernes. La morphologie faciale est également identique à celle d’Homo sapiens.

Étant donné qu'on lui attribut un âge de 800 000 ans et que cela ne correspond pas à l'époque supposée de l'Homo sapiens, l'issue de secours fut d'inventer une nouvelle espèce ! C'est aussi simple que ça !

L'imagination des évolutionnistes s'est remise en éveil pour enfin reconstruire un arbre généalogique malmené par les dernières découvertes. En effet, d'après ses découvreurs, Homo antecessor serait un descendant d’Homo ergaster. Et il serait même en outre l'ancêtre direct commun d’Homo heidelbergensis et d’Homo rhodesiensis, lesquels seraient respectivement les ancêtres directs de l’Homme de Neandertal et d’Homo sapiens.

Ces « serait » ne s'appuient évidemment sur rien, vous l'avez compris !

CONCLUSION

 Lorsqu'on réfléchit à l'ensemble des informations qui font autorité aujourd'hui, une critique simple s'impose à notre esprit :

Ramapithèque, Australopithèque, (Homo) habilis, (Homo) rudolfensis, (Homo) floresiensis, sont tous reconnus aujourd'hui comme des espèces ou catégories de singes. Celles nommées « Homo » devraient être renommées. Certaines formes « transitionnelles » du passé, tels les Ramapithèques, ont dû être exclues de l'arbre généalogique imaginaire de l'évolution après que l'on se soit rendu compte qu'il ne s'agissait que de singes très ordinaires.

Homo ergaster, Homo erectus, Homo georgicus, Homo antecessor, Homo heidelbergensis, Neandertal, Homo sapiens, sont reconnus comme étant de simples humains.

Les récentes découvertes effectuées par les paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo habilis, l'Homo erectus existaient dans différentes parties du monde à la même époque. De plus, une certaine partie des humains classifiés en tant que Homo erectus ont vécu jusqu'à une période proche des temps modernes. L'Homo sapiens néandertalien et l'Homo sapiens (l'homme moderne) ont existé côte à côte dans la même région. Cette situation indique l'infondé des allégations évolutionnistes, en l'occurrence que les uns sont les ancêtres des autres.

Le fossé entre les variétés de singes et les véritables « Homo » s'est, au fil des découvertes, fortement élargit. C'est à dire que nous ne sommes plus à un chaînon manquant comme on le pensait au début du siècle dernier, mais à d’innombrables chaînons manquants puisqu'à ce jour, aucune forme transitoire fossile n'a été découverte pour faire le lien entre le singe et l'homme.

De nombreux scientifiques considèrent que l'ensemble des « homo » ne sont qu'une seule et même race.

Le paléontologue de l'Université d'Harvard, Stephen Jay Gould, admet que le scénario de «  l’arbre généalogique humain » s’est effondré. Il explique cette impasse de l'évolution bien qu'il soit lui-même un évolutionniste, nous le répétons :

Qu'est-il devenu de notre échelle s'il y a trois généalogies coexistantes d'hominidés (A. africanus, l'australanthropien robuste et l'Homo abilis), et qu'aucune ne dérive clairement de l'autre ? De plus, aucune des trois n'affiche une quelconque tendance évolutive durant leur temps sur Terre. (S J Gould, Natural History, vol. 85, 1976, p. 30)

Lorsque l'on considère toutes ces informations, le créationnisme paraît davantage acceptable que l'évolutionnisme : une création spécifique pour les animaux et une création spécifique pour les humains. A ce jour, toute découverte archéologique correspondant à des lieux et des récits bibliques a été trouvée conforme à ce qui est écrit dans le texte biblique (Voir dossier sur l'arche de Noë). La bible possède aussi quantité de prophéties qui se sont réalisées en leurs temps avec une parfaite précision. (Voir prophétie de Daniel 2). La création apparaît pour beaucoup comme une folie si l'on analyse les faits avec les yeux de la science. cependant, qu'est-ce que la science humaine face à Dieu si celui-ci est réellement à l'origine de la création ?

Le Dr Georg VALD, prix Nobel de médecine en1967 reconnaît ceci: «  Quant à l'origine de la vie sur la terre, il n'y a que deux possibi­lités : la création ou la génération spontanée (l'évolution). Il n'y a pas de troisième chemin. La génération spontanée a été réfutée il y a 100 ans, ce qui donne une seule conclusion : une création surnaturelle. Nous ne pouvons pas accepter cela pour des raisons philosophiques et personnelles, alors nous choisissons de croire l'impossible : que la vie est née spontanément par hasard. »

Colin PATTERSON, principal paléontologue du British Natural History Museum relate ceci :

" J'ai posé la question suivante à un groupe d'évolutionnistes pres­tigieux lors d'un séminaire à l'Université de Chicago : « Pouvez-vous me dire une seule chose que vous savez être vraie concernant l'évo­lution? »

La seule réponse a été un long silence, et à la fin une personne a dit : « Je sais une chose : elle ne devrait pas être enseignée au lycée ». "

REFERENCES

Références :

(1) Solly Zuckerman, Beyond The Ivory Tower, New York: Toplinger Publications, 1970, pp. 75-94.

(2) Charles E. Oxnard, "The Place of Australopithecines in Human Evolution: Grounds for Doubt", Nature, vol. 258, p. 389.

(3) Fred Spoor, Bernard Wood, Frans Zonneveld, "Implication of Early Hominid Labryntine Morphology for Evolution of Human Bipedal Locomotion", Nature, vol. 369, 23 juin 1994, pp. 645-648.

(5) American Journal of Physical Anthropology, vol. 9 4 , 1 994, p. 3 0 7 sq.

(6) Holly Smith, American Journal of Physical Antropology, vol. 94, 1994, pp. 307-325.

Holly Smith. Associate Research Scientist, University of Michigan. anthropology, paleontology, primates, life history, dental development

(7) Fred Spoor, Bernard Wood, Frans Zonneveld, "Implication of Early Hominid. Labryntine Morphology for Evolution of Human Bipedal Locomotion", Nature, vol. 369, 23 juin 1994, pp. 645-648.

(8) http://www.nature.com/news/skull-suggests-three-early-human-species-were-one-1.13972

(9) 138 Jeremy Rifkin, Entropy: A New World View, New York, Viking Press, 1980, p. 6.

(10) Hublin, J.-J. (2007) - « Origine et évolution des Néandertaliens »

(11) William Harcourt-Smith « le pied de l'homme de Flores ». PDF en anglais.

(12)http://www.sciencesetavenir.fr/archeo-paleo/20070921.OBS6020/trois-os-qui-font-de-l-ancetre-de-flores-un-homme-different.html

Consultations :

Les Etapes morphologiques de l’Evolution Humaine : GUIPERT Gaspard

Darwin,le mensonge de 1 Evolution : Hans-] oachim Zilmmer

Parlez moi de la création ; Le mensonge de l'évolution ; HarunYahya.

The Collapse of Evolution, Scott M. Huse, 1997

Derniers commentaires

06.04 | 08:36

C'est vraiment pédagogique et c'est ainsi que cela devrait être enseigné.

03.02 | 11:45

La vidéo est à nouveau sur mon compte Youtube et sur ce site.

05.01 | 16:24

Les Darwinistes au Pied du Mur/ l' origine de la vie Il semblerait que cette video dérange Ytube, l'avez-vous enregistré ailleurs, sur Vimeo? ou autre accessible sur la toile

11.11 | 16:07

Il y a eu des erreurs de datation au fil des ans, bien sûre. Et elle s'explique autrement que seulement par contamination. Principe et fonctionnement de la datation sur monocristal par exemple.