- Origine de la vie - Origine de l'humanité -
Vidéo de 4 minutes seulement pour nous ouvrir les yeux sur ce qui est pourtant une évidence.
Puis découvrez ci-dessous comment et pourquoi le monde scientifique nous abreuve de mensonges :
Depuis plus de deux siècles, on assiste à une campagne d’endoctrinement incessante, cherchant à prouver que Dieu n’existe pas. Ce qui permet de modeler l’être humain à sa guise, de changer ses repères moraux et de le transformer en dieu lui-même. Ce projet fait intrinsèquement partie des plans du Nouvel Ordre Mondial ! Et les médias aux mains de la haute finance défendent sournoisement cette idée. Tout est fait pour ridiculiser, supprimer l’étude des religions dans les écoles. Le veau d’or par contre réapparait. On veut faire en sorte que le but ultime de l’homme soit l’argent.
Cette page sert d'introduction à " Evolution infos " ou chaque sujet y est développé.
Une perfection que l’on retrouve dans la nature :
La suite de Leonardo Fibonacci (1175-§1250) consiste à créer une liste de nombres que l’on obtient en additionnant les deux nombres précédents : 2,4,6, 10, 16, 26, 42… Cette élégante suite décrit de nombreuses choses dans la nature, comme les pétales de fleurs (le nombre de pétales sur une marguerite ne pourra jamais être de 27, car ne correspondant pas à la suite de Fibonacci).
Ou encore les vagues qu’amènent la marée. Elles se courbent en formant une spirale
qui peut être retranscrite de façon mathématique avec des nombres qui suivent la suite de Fibonacci. A environ 100 000 années lumière de nous, mêmes les spirales des galaxies sont formées
suivant le même principe. (retrouvez ce sujet à la page "Vidéos")
Cet autre chiffre : 1,618 appelé le nombre d’or et qui est un ratio de Fibonacci, est une formulation mathématique qui apparaît partout, y compris dans un cycle d’une double hélice d’ADN (ou code de la vie) : 34 angstroms de long/ 2& angstroms de large = 1,618
Le nombre d’or a même été découvert dans le monde quantique. Les chaînes d’atomes sont alignées ensemble pour former une sorte de corde et cela résonne sous forme de fréquence ou ton (et ce ton possède un ratio de 1,618).
Selon la théorie de Darwin, les espèces animales n’ont pas été créées par un Dieu mais par le processus du hasard (L’origine des espèces, 1859), de plus, elles descendent d’un ancêtre commun. Ces idées eurent un grand succès, car elles confortaient les matérialistes ou athées qui étaient nombreux en cette fin du XIXème siècle. Karl Marx ne dédia-t-il pas son livre « Le Capital » à Darwin ? Pourtant, elles ne répondaient pas à cette question : Comment la première cellule vivante a-t-elle pu apparaître ? Louis Pasteur comprit rapidement le non fondement de sa théorie : « La matière peut-elle s’organiser seule ? Non. Des êtres microscopiques ne sont pas apparus en leur état sans parents. » Le biologiste russe Alexander Oparin, chercha comment une première cellule vivante pouvait apparaître d’une matière inerte. Mais il ne trouva rien. « L’origine de la cellule reste l’aspect le plus trouble de toute la théorie de l’évolution » écrira-t-il dans son livre (Origin of Life Page 196).
Jeffrey Badda, professeur de géochimie, avoua en 1998, que l’on n’avait toujours pas trouvé comment la vie était apparue sur terre :
Une cellule vivante est effroyablement complexe mais pourtant d’une taille équivalente à 1/100ème de mm. Chacune d’elle possède comme des moteurs pour se déplacer, une centrale électrique, des usines de haute technologie, des systèmes de stockage, des raffineries de pointe et une membrane cellulaire assez intelligente pour contrôler ce qui rentre et sort.
. Quelle est la probabilité qu’une protéine (les éléments essentiels à la cellule) émerge par chance avec tous les acides aminés qui interagissent les uns avec les autres dans cette soupe cellulaire sur un milliard d’années ?
La probabilité est de 1/10 puissance 74. Mais il existe d’autres obstacles à surmonter. Car si nous voulons construire une protéine, les acides aminés doivent être attachés ensemble avec ce qu’on appelle des liaisons peptidiques.
Mais dans la nature, une liaison semblable se produit une fois sur deux. Donc pour former une protéine (150 acides aminés de longueur) on a une chance sur deux de chaque côté, d’obtenir le bon type de liaison. C’est-à-dire une chance sur deux, multiplié par une chance sur deux, multiplié par une chance sur deux etc……jusqu’à 150 liaisons = ou 10 puissance 45. De plus, lors de la construction d’une protéine, un acide aminé peut être de deux versions, une conformation isomérique droite et une gauche (les isomères optiques). Seule la gauche peut être utilisée pour construire une protéine. Donc au total, la probabilité pour obtenir par chance une protéine fonctionnelle est 10 puissance 74 X 10 puissance 45 X 10 puissance 45 = 10 puissance 164 !
Pourtant il n’y a que 10 puissance 80 de particules élémentaires dans l’univers. Devant ce constat, on ne peut qu’être sceptique sur le fait que la vie ait pu apparaître par chance. Aucun scientifique sérieux ne peut défendre ce genre de théorie.
La biochimie moderne nous dévoile aujourd’hui, l’inimaginable complexité de la molécule d’ADN :
Le professeur Anthony Flew (1923-2010) était durant de nombreuses années un athéiste convaincu. Un de ses articles « Théologie et Falsification » eut d’ailleurs beaucoup de succès parmi les évolutionnistes et autres athées. Mais aujourd’hui, les progrès de la science le firent changer d’avis. Il terminera sa vie dans la foi en un Dieu créateur de l’univers. La retranscription du code de la vie, écrit dans la molécule d’ADN, et la retranscription de l’ADN en ARN, et de l’ARN en protéines, puis son processus de repliement de protéine, constitue l’argument le plus déterminant de son changement de pensée.
La structure de l’ARN parait simple. Mais en réalité non. Chaque bloc le composant est constitué de 2 parties : une molécule de sucre et une base azotée. Chacune d’elles peut être créée en laboratoire. Mais on n’arrive pas alors à les joindre ensemble. C’est curieusement chimiquement impossible.
Certains évolutionnistes aiment dire que notre ADN est 98% similaire à celui du singe.
Mais ils oublient d’ajouter que chaque humain possède 3 milliards de lettres d’information ADN dans chaque cellule. Une différence de 2% représente donc une différence de 60 millions. Soit 20 livres de 500 pages. Ce qui n’est pas rien. A titre de comparaison, 50% de notre ADN est similaire à celui d’une banane. Serions-nous pour moitié une banane ?
Tous les détails physiques et physiologiques d’un être humain sont codés dans cette double hélice. La structure de nos organes internes, la couleur de nos yeux, la forme de nos cellules sont programmés dans des sections appelées gènes. Le code de l’ADN est composé d’une séquence de 4 différentes bases. Si on représente chacune de ces bases avec une lettre, l’ADN peut être relié à une base de données faite d’un alphabet composé de 4 lettres. Toutes les informations sont stockées dans cette base de données.
Si on trouvait une ancienne tablette d’argile avec d’étranges lettres dessus. On pourrait la lire si quelqu’un arrivait à la déchiffrer. Et cela sans avoir besoin de connaître l’auteur du message, non ?
Il en est de même avec l’ADN. Il représente lui aussi un langage qu’il faut comprendre : 4 unités de base appelées nucléotides qui se combinent pour former 20 acides aminés. Et à partir de ces 20 acides aminés, le corps forme environ 100 000 protéines. Chaque minuscule cellule de notre corps renferme environ 1 mètre d’ADN compacté : 3 milliards de nucléotides. La similarité entre l’ADN (le langage de la vie) et le langage humain n’est-elle pas troublante ? Là aussi, sans en connaître l’auteur, on devrait pouvoir complètement le déchiffrer. La recherche de la source intelligente, créatrice de ce langage, est un problème différent.
Cellules simples primitives : une utopie !
Selon les évolutionnistes, les premières formes de vie seraient des cellules très simples il y à 4 milliards d'années et il y a 2 milliards d'années des formes multicellulaires seraient apparues. Cependant, nous connaissons aujourd'hui l’extrême complexité fonctionnelle de la moindre petite cellule et de son système reproducteur et nous pouvons facilement comprendre que le couple hasard-temps cher à Darwin n'a aucune chance d’être le créateur d'organismes aussi complexes.
La théorie de l’évolution est aussi morte, du fait du concept appelé « série de gènes minimum » :
Les scientifiques ont pris un mycoplasme (bactérien), le plus petit organisme vivant qui existe. Il possède 468 gènes (un gène est un complexe protéique pouvant avoir entre 1 000 et 10 000 acides aminés). On essaya en l’an 2000 de les réduire. Car pour prouver la théorie de Darwin, il faut débuter avec zéro gène. Il se trouve qu’il fut impossible d’aller en dessous de 200 gènes. Le 6 janvier 2006, dans la revue Nature, on apprit qu’il fut impossible d’aller en dessous de 397 gènes. En fait, la cellule a besoin d’un certain nombre de composants spécifiques pour pouvoir fonctionner. Elle a une membrane qu’il faut alimenter. Donc il faut des mitochondries, un moyen de marquer les protéines, de l’ADN… Bref 397 gènes au minimum.
La science de la génétique a prouvé qu’il ne s’agissait pas de caractères acquis mais uniquement des gènes qui étaient transmis aux générations suivantes.
Reproduction complexe des cellules :
Imaginons que le hasard produise une cellule (amas d'acides aminés vivants et organisés, c’est-à-dire mieux que la constitution d’un dictionnaire complet en mélangeant des lettres au hasard !), faut-il encore que cette cellule une fois constituée se reproduise ! Or, même la reproduction végétale la plus simple (mitose) est cependant si complexe et si organisée que seule une intelligence a pu la concevoir. Il est impossible scientifiquement d'imaginer la conception d'une cellule primitive simple. La présence d'ADN-ARN est indispensable à la moindre cellule, ce qui la rend déjà très complexe.
Un scenario suggérant que des caractères acquis transmis d’une génération à une autre pouvant générer des espèces différentes était impossible. Autrement dit, il n’y avait aucune variation héréditaire possible dans le mécanisme de sélection naturelle de Darwin. Le mécanisme de sélection naturelle n’a aucun pouvoir d’évolution. Ce qui fait dire par un paléontologue anglais, Colin Patterson (1933-1998), que « Personne ne peut créer une espèce par le moyen de la sélection naturelle. » (BBC 4 mars 1982)
Les évolutionnistes ont alors ajouté le mécanisme de mutation :
Les mutations sont des altérations ou distorsions qui se créent dans l’ADN d’un être vivant, la plupart du temps, dues à des effets externes comme les radiations ou des actions chimiques. La théorie de l’évolution prétend donc maintenant que les êtres vivants se différencient les uns les autres et se sont développés par le biais de mutations. Cela ne peut pas être vraies, car les mutations ne font qu’endommager l’information présente dans l’ADN et ne génèrent que des effets négatifs sur un être vivant. Les mutations n’ajoutent pas de nouvelles informations génétiques.
Dr Warner Gitt dans son livre écrit (Au début était de l’Information, pages 64, 67, 79 et 107) :
« Un système de code est toujours le résultat d’un processus mental, cela requiert une source d’intelligence… La matière est incapable de générer n’importe quel code. Toutes les expériences démontrent, qu’un être ayant une pensée et qui volontairement exerce son propre choix, ainsi que sa propre cognition et créativité, est requis. Il n’y a aucune loi naturelle connue, aucun processus connu et aucune séquence d’événements connue qui peuvent causer de l’information à émerger toute seule à partir de la matière. »
Une vidéo à voir absolument.
La science de la biologie moléculaire, la paléontologie (science des fossiles), réfutent la théorie de l’évolution.
Les fossiles ne montrent pas l’évolution graduelle du simple au complexe sur des centaines de millions d’années. De plus, on ignore ce qu'ils appellent « l’explosion cambrienne ». La couche terrestre soit disant la plus ancienne dans laquelle des fossiles d’êtres vivants ont été découverts, est celle dite de l’époque cambrienne, qui remonterait soi-disant entre 500 et 530 millions d’années. Dans les couches sous-jacentes, aucun fossile n’a été retrouvé à part quelques organismes unicellulaires. En revanche, pour la couche cambrienne de nombreuses espèces furent découvertes. Plus de 30 espèces d’invertébrés tels que des méduses, des étoiles de mer, des trilobites et des escargots apparurent. Dans l’arbre de l’évolution de Darwin, en bas se trouve l’ancêtre commun puis différentes espèces dans les arbres. On aurait une première forme qui divergerait ensuite vers d’autres formes d’une manière graduelle, jusqu’à arriver vers les formes modernes d’aujourd’hui. Le problème, toutes ces différences apparaissent déjà dans la couche "cambrienne".
Les lignées d’espèces majeures sont déjà présentes dans la couche cambrienne. Mais Darwin ne disait-il pas « que si de nombreuses espèces appartenant au même genre ou à la même famille sont réellement apparues soudainement, alors ce fait serait fatal à la théorie de l’origine avec des modifications lentes à travers la sélection naturelle. » (the Origin of Species page 302).
Mais les strates se sont elles réellement formées en couches ? cela, c'est une autre histoire ! (Voir " Strates géologiques " sur ce site) (voir aussi la vidéo)
Bref, aucun fossile prouvant l’évolution n’a été retrouvé sur la planète. Tous les groupes biologiques, qui vont des bactéries, des algues vertes à l’être humain, apparaissent brusquement dans le registre des fossiles sans aucun lien qui les relient ensemble.
Pourquoi donc tant de gens pensent que les fossiles prouvent l’évolution ?
Pourquoi cette théorie est-elle toujours présentée aux jeunes ?
Pourquoi donc les musées, n’ont-ils pas de fossiles démontrant clairement les transitions entre les divers groupes biologiques ?
Pourquoi tous ces mensonges ?
On répertorie 6500 différentes espèces de singes ayant vécu jusqu’à présent. Mais la majorité d’entre elles ont disparues. Les crânes de ces espèces, grands ou petits, constituent une grande ressource pour les évolutionnistes. Un magnifique jeu de construction avec lequel les évolutionnistes ont concocté le scénario de l’évolution humaine.
L’espèce de singe disparu appelé australopithèque (il y a 3 à 4 millions d’années) a eu leur faveur. Le premier découvert fut en 1924 par Raymond Dart. Il ressemble à l’être humain. Cependant, si on compare ses os avec ceux d’un chimpanzé, il semble y avoir très peu de différences entre eux. Les évolutionnistes en ont déduit que l’australopithèque a marché verticalement sur ces deux pieds différemment des autres singes. Cependant, deux anatomistes connus, Sally Zukerman et Charles Oksnard ont contesté cette allégation. (Voir " Evolution de l'homme ")
L’australopithèque (Lucie) avancé comme l’ancêtre de l’homme par les évolutionnistes, est simplement une espèce de singe disparue. D’un autre côté, les fossiles qui sont inclus par les évolutionnistes sous des classifications imaginaires, tel que « Homo Erectus », « Homo Ergaster », « Homo Sapiens archaïque », appartiennent en réalité à différentes espèces humaines. Lorsque ces fossiles sont examinés, leurs squelettes ont l’air d’être essentiellement les mêmes que les personnes qui vivent aujourd’hui. Les seules dissimilitudes, sont de petites différences au niveau de la structure du crâne. Mais des différences comme celles-ci, peuvent se trouver dans différentes races humaines vivantes aujourd’hui. (Voir " Evolution de l'homme ")
Deux des diverses fraudes imaginées pour tenter de faire accepter la théorie de l’évolution :
La plus célèbre d’entre elles, est celle du fossile Piltdown introduit en 1912 par l’évolutionniste Charles Dawson. Il était présenté comme la forme transitionnelle la plus importante entre le singe et l’homme. Il a été exposé pendant plus de 40 ans dans les musées.
Des experts en 1949 l’examinèrent et s’aperçurent qu’il s’agissait en fait, d’une fabrication qui avait été produite, en attachant une dent d’orang-outan sur un crâne humain. Il fut discrédité en 1953.
Il y a aussi l’homme du Nebraska, présenté comme forme transitionnelle, mais inventé en 1922 avec une seule dent, provenant d’un cochon sauvage. L’homme de Néandertal fut présenté comme preuve en 1856, mais discrédité en 1960. Le ramapithèque fut présenté en 1964, puis discrédité en 1979.
D'autres fraudes sont à découvrir sur la page "10 arguments".
La théorie de l'évolution du singe à l'homme est exposée en détail à la page " EVOLUTION DE L'HOMME " . Vous y trouverez que les informations disponibles sur les revues scientifiques sont bien différentes de ce qui est enseigné dans les médias et les écoles.
Cette page sert d'introduction à " Evolution infos ".
Références :
Derniers commentaires
06.04 | 08:36
C'est vraiment pédagogique et c'est ainsi que cela devrait être enseigné.
03.02 | 11:45
La vidéo est à nouveau sur mon compte Youtube et sur ce site.
05.01 | 16:24
Les Darwinistes au Pied du Mur/ l' origine de la vie Il semblerait que cette video dérange Ytube, l'avez-vous enregistré ailleurs, sur Vimeo? ou autre accessible sur la toile
11.11 | 16:07
Il y a eu des erreurs de datation au fil des ans, bien sûre. Et elle s'explique autrement que seulement par contamination. Principe et fonctionnement de la datation sur monocristal par exemple.