La radio-datation remise en cause.

Courte vidéo de 9 minutes très explicative.

Les méthodes de radio-datation remises en cause !

 Les méthodes de radio-datation sont basées sur la désintégration radioactive. Les roches contiennent des élément radioactifs. Les éléments radioactifs sont instables et perdent des particules tel que l'uranium 238 par exemple qui devient du thorium 234 et ainsi de suite. Chacune de ces transformations (perte de particules) se fait en un temps précis.

En calculant le nombre de ces transformations depuis l’élément primitif jusqu'au dernier élément actuel, il serait possible théoriquement d'en déduire son age.

Ces mesures sont elles précises et correctes scientifiquement ?

Exemple du Grand Canyon :

Les écoulements de lave dans le grand canyon, ont-ils fourni des tests concluants ? Non !

- Six tests « méthode Potassium-argon » : résultats variants entre 10.000 ans et 117 millions d'années !

- Cinq tests « méthode Rubidium-strontium » : résultats variants entre 1,27 et 1,39 milliard d'années.

- La méthode «Deal-Lead» indique 2,6 milliard d'années.

- Des objets indiens pris dans cette lave ont été datés de 800 à 1000 années !

Vous découvrez tellement d'âges possibles pour cette lave que vous n'avez plus qu'a choisir celle qui colle la mieux avec vos croyances géologiques évolutionnistes ! Il suffit pour cela d'en choisir une et de qualifier les autres d'échantillons contaminés ! C'est ainsi que ces honnêtes scientifiques agissent !

Ce manque total de précision du calcul de l'âge des roches ne se retrouve pas uniquement au grand canyon mais partout ou l'on fait ces tests dans le monde ! Que répondent à cela les concernés : ils disent que lorsque le calcul ne correspond pas à la réalité c'est parce que l'échantillon testé a été contaminé par des éléments radioactifs plus récents (eau de pluie, pollutions).

Lorsque les scientifiques nomment ces méthodes d' «Absolue» c'est un pur abus de langage juste utile pour différencier de la méthode relative ancienne basée sur des croyances géologiques évolutionnistes et imaginaires.

Exemple du Mont St Helens!

www.gettyimages.com

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Le docteur Steve Austin a pris un prélèvement de la dernière coulée de lave du Mont St Helens en 1986 ; il a ensuite utilisé la méthode de radio-datation «Potassium-Argon» et a trouvé des âges allant de 340.000 années à 2.8 millions d'années. Cette différence dans les âges montre pleinement la crédibilité de ces appareils ! Surtout lorsque vous savez que cette lave solidifiée n'avait que 10 ans d'age !!! Les scientifiques ont répondus à cela que tout échantillon qui a moins de 6000 ans ne peut pas être pris en compte par la méthode. Alors dans ce cas, si la bible a encore raison en donnant à la terre un âge de 6000 ans maximum, tout ce que ces scientifiques calculent est donc totalement faux et perte de temps !

Le calibrage:

Lorsqu'une méthode de datation est développée et qu'elle doit être calibrée, il lui faut un repère fiable pour être calibrée dans le temps.

Mais sachez que ces repères n'ont rien de scientifiques parce qu'ils sont ceux de la théorie évolutionniste ! Par exemple , en 1905, il a été établi que les dinosaures avaient 8 millions d'années. Une simple supposition gratuite qui devient par magie une base de calculs et de calibrage !

Et pourtant en 1927 on leur donne 30 millions d'années, puis en 1941 on nous affirme qu'ils ont 150 millions d'années ! Et puis un jour on découvre une empreinte de pied humain et une de dinosaure fossilisées ensembles !

Conclusion :

Avez-vous compris maintenant comment les scientifiques nous imposent une « vérité absolue » calculée sur des hypothèses, comme on construirait une maison sur plusieurs bancs de sable ! De nos jours cette maison s'écroule : des milliers de scientifiques dans le monde s'opposent à ces pratiques mensongères dont le but essentiel est de donner raison à la croyance de Darwin : « l'évolution est le fruit de changements infimes sur de très longues durées de temps ». Ce site vous propose d'autres reflexions tout aussi passionnantes.

Gilles Nicolas

D'après la vidéo de Ian Jubi : https://youtu.be/VjTpikn22Sk

Exemples des volcans de Nouvelle-Zélande:

(Extrait de l'article) Il a été démontré que la méthode de datation par potassium-argon a conduit à l’échec pour les coulées de lave de 1949, 1954 et 1975 du mont Ngauruhoe en Nouvelle-Zélande, en dépit de la qualité du travail d’analyse K-Ar du laboratoire. Le gaz argon, amené du plus profond de la terre à l’intérieur de la roche en fusion, était déjà présent dans les laves quand elles se sont refroidies. Nous connaissions l’âge réel des roches parce qu’elles ont été observées en train de se former il y a moins de 50 ans. Pourtant, leur datation indique des “âges” de 3,5 millions d’années, ce qui est donc erroné. Comment pouvons-nous alors faire confiance à l’utilisation de cette même méthode “de datation” de roches dont les âges nous sont inconnus? Si la méthode échoue avec des roches qui ont été observées par des témoins indépendants, alors pourquoi devrions-nous faire confiance à la datation d’autres roches qui n’ont pas subi de contre-vérifications historiques indépendantes?

ECHEC DATATION

Exemples des volcans de Nouvelle-Zélande: le dossier en PDF.

Grand canyon: image Google

Grand canyon: image Google

Commentaires

Jocelyn Robichaud

11.11.2018 16:07

Il y a eu des erreurs de datation au fil des ans, bien sûre. Et elle s'explique autrement que seulement par contamination. Principe et fonctionnement de la datation sur monocristal par exemple.

Derniers commentaires

06.04 | 08:36

C'est vraiment pédagogique et c'est ainsi que cela devrait être enseigné.

03.02 | 11:45

La vidéo est à nouveau sur mon compte Youtube et sur ce site.

05.01 | 16:24

Les Darwinistes au Pied du Mur/ l' origine de la vie Il semblerait que cette video dérange Ytube, l'avez-vous enregistré ailleurs, sur Vimeo? ou autre accessible sur la toile

11.11 | 16:07

Il y a eu des erreurs de datation au fil des ans, bien sûre. Et elle s'explique autrement que seulement par contamination. Principe et fonctionnement de la datation sur monocristal par exemple.